Dent pour Dent|Sang pour Sang [PV:Charles]

Qu’est-ce que la puissance du sang sur la chaire humaine, qu’elle est le goût de la vie entre nos veine qui circule. Si nous sommes ce que nous sommes, il y a une bonne raison. Dans certaines cultures on croit que l’être à déjà son chemin croisé. Alors quand un être surnaturel apparait, il va de soit que sa création est celle que son dieu aura bien voulue. Mais si je comprends que toute création est de dieu, sa perte sera aussi celle qui choisira, en autre notre dieu ne sert à rien ! Voilà pourquoi ma famille m’interdit d’y croire.

Nous étions un soir d’été, le soleil avait laissé place à au croissant de lune, je m’avais dirigé vers un buisson pour déposé mes vêtements sur un rocher avant de me transformer. Doucement, mes os et ma chaire se transforma pour laisser place qu’à une louve blanche aux yeux brillant. En apportant ma patte de derrière pour me gratter l’oreille quelques secondes avant de partir à la chance au lièvre. En courant d’une certaine grâce – celle d’un loup – je sautai sur ma proie en la dévora rapidement. Le sang qui s’éclaboussait me rendait encore plus folle, je ne pouvais résister à l’animal devant moi. C’était inusité de dévorer autant pour une si maigre personne, mais que voulez-vous, quand le loup à faim, il est plus brillant de manger.

En retournant vers le roché, une odeur de cadavre qui me rappel que de mauvais souvenir. Je me transformais en vitesse grand V avant de m’habiller. Sans mi attendre l’odeur se rapprochais et venait à me dégouté. Il avait beau être une vielle connaissance, le fais qu’il soit près de moi me rendait folle de rage. Je me dirigeais vers un parc commun avant de m’assoir sur un banc. Prenant une grande inspiration, je sentis quelques choses m’appeler : c’était moi et seulement moi, mon corps était recouvert du sang du lièvre et du raton-laveur. Je m’efforçais à cacher les traces avec l’étole qui me réchauffais, mais avec un minishort et un débardeur rien n’allait réellement marcher.

Quand je m’apprêtais à laver ma main avec ma langue, une fraîcheur inconnue apparue. Je m’abaissais à crier fortement de surprise avant de réaliser que Charles était présent.

- Non ! Mais Charlie, Charles sa ne vas pas me suivre ainsi sans dire un mot depuis de longue heures ? Tu sais que ton odeur de mort, on la ressent de loin ?

Je refusais d’être assis à côté de lui pour x raison. Je le regardais dans ce noir, il avait une faible lumière seulement pas assez pour éclairer, alors mon regard fixer ne comprenais toujours pas pourquoi il recherchait à me combattre et moi pareille.

- Comment vas la demoiselle ? Toujours surveiller par sa famille chérie ?

Je le voyais et sentais très bien sa rage monté en lui. Ce n’était pas de peur, mais de protection qu’un faible grognement apparu. Le ciel sentais la pluie et moi le sang tendis que lui … c’était ne odeur qui m’était complètement inconnu.M’approchant de lui avec précaution tout en reniflant le parfum qui dégageait. Que pouvait-il avoir bien pus faire pour sentir si mauvais ? Lui qui prend soit de son apparence sans relâche avait maintenant cette chose qui lui tenait sur la peau. Mon grand-père respectait sa famille pour leur tradition et respect, mais la véritable raison était leurs idéaux. Moi, je trouvais sa famille simplement banale. C’est surement pourquoi, je ne supporte aucun d’eux. En grognant toujours avant de réalisé que mon visage était à quelques centimètre du siens. Reculant d’un pas, je me laissais tombé sur le sol en le fixant.

- Alors Charlie, quoi de nouveau ?

Dis-je en riant faiblement, bien sûr comme tout vampire il avait parfaitement entendue, mon sourire s’élargissait tout comme ma tension évolua.