Je me senti dévaster, je ne comprennais pas comment un être humain pouvait autant être déprimer. En faite, je pouvais le comprendre un peu, la vie n'avait pas été facile avec lui. De plus, il devait faire un choix difficile. Le dileme qui se toruvais devant lui n'était pas facile à résoudre. Soit il faisait ce qu'il aimait et qu'il ''décevait sa mère'' (ce qui, d'après moi, est impossible), soit il ne faisait pas ce qu'il veut, et qu'il suit les traces que ses parents avaient déjà fait pour lui. Mais je ne pouvait pas percevoir qu'une mère soit déçu de son enfant au point de l'"obliger à faire quelques choses contre son grés.
-Tu sais Éric, je pense que ta mère aurait aimer que tu fasse ce qu'elle voulait que tu fasse dans la vie. Mais je suis persuader, que si tu choisissait par toi même ce que tu voulais faire, elle ne serais aucunement déçu.
Je le regardai, et j'en étais triste.